C’est là toute la « magie » de l’emprise, tout le monde ou presque se rend compte de ce qui se passe, mais peu de personnes réussissent à se l’avouer car il est bien plus angoissant de se dire que nous vivons sous un régime autoritaire, plutôt que de nous dire que nous sommes victimes d’un virus. Un virus contre lequel nous avons un vaccin, une épidémie que nous pouvons tenter de combattre. Le niveau de contrôle ressenti par l’individu est ainsi déterminant dans sa prise de conscience.
C’est donc sous couvert d’un virus que nous avons vu un vocabulaire guerrier émerger, en effet d’après Emmanuel Macron : « nous sommes en guerre », nous devons « nous battre contre le virus », « prendre des mesures exceptionnelles », et ce « quoi qu’il en coûte ».
Or si nous étions réellement face à une problématique de santé publique, le champ lexical ne devrait-il plutôt pas être agrémenté de mots tels que « soigner », « guérir », « prévenir » ?
Les médecins et les soignants qui parlent de prévention (de vitamine D par exemple) deviennent des charlatans. On nous dit même que la vitamine D est dangereuse et toxique, alors qu’elle est encore prescrite par les pédiatres aux nourrissons afin qu’ils puissent renforcer leur système immunitaire pour se protéger des virus. Il en va de même pour tous les traitements : hydroxychloroquine, Ivermectine, tout ce qui semble fonctionner pour soigner les gens atteints de ce virus est dénigré. Les médecins qui les prescrivent sont pourchassés, renvoyés, traités de tous les noms alors que, dans le même temps, des centaines d’études émergent pour montrer leur efficacité.
Le but ne peut donc pas être de se débarrasser du virus et encore moins de soigner les gens. Pire encore, dans quelle démocratie qui a à cœur la santé de ses citoyens, les gens sont-ils interdits d’hôpitaux s’ils n’ont pas leur « pass sanitaire » ? Dans quel monde, en pleine pandémie, alors qu’on nous dit que toutes les mesures qui sont prises sont prises pour éviter l’engorgement de l’hôpital public, on renvoie les soignants pendant qu’on ferme des lits ? Ajoutons que la situation est similaire dans plusieurs pays du monde (Australie, Canada…).
Sommes-nous tous capables d’accepter cette réalité tant elle est angoissante ?
Le double discours, utilisé dans tout système pervers, consiste à dire tout et son contraire. Cela crée une dissonance cognitive dans l’esprit des personnes qui deviennent incapables de déterminer ce qu’on leur demande. Le déni permet alors de diminuer le niveau de tension interne : puisqu’il est impossible de trouver une logique dans toute cette histoire, on va se protéger par le déni. Au fond, nous savons ce qu’il en est, mais de remettre en question la société, ses mécanismes ou simplement de penser que le gouvernement ne souhaiterait pas notre bien nous amène à éprouver de l’angoisse. Pour s’en prémunir, il ne reste plus que le déni. C’est ainsi que rapidement, on peut être amené à se complaire dans l’idée que « les réfractaires sont des complotistes » ou encore que « le gouvernement est incompétent ».
Le déni, c’est le mécanisme de protection psychologique qui est souvent utilisé par les victimes de violences et d’abus, car c’est ce qui protège le psychisme d’un effondrement dépressif.
Avec tous ces éléments, commencez-vous à comprendre
pourquoi les gens sont en plein déni ?
Alors, comment aider à la prise de conscience ?
Une personne dans le déni ne cherche pas à s’informer car elle connaît la réalité, elle essaie simplement de s’en protéger. Elle a besoin d’avoir des informations sur les mécanismes de la manipulation. Elle a besoin de comprendre que oui, ce qu’elle ressent est légitime, qu’elle n’est pas réellement folle, pour pouvoir redonner sa folie apparente à la personne à qui elle revient de droit.
La victime a également besoin de beaucoup de soutien, car c’est un chemin extrêmement difficile que celui de la prise de conscience.
Si vous essayez de faire sortir quelqu’un du déni en le menaçant, vous n’y arriverez jamais. Vous devez au contraire rassurer, écouter, qu’il s’agisse de doutes, d’interrogations ou d’objections. C’est un processus qui se fait toujours par étapes : la personne semble avoir compris, puis tout d’un coup elle est de nouveau dans un déni profond car elle n’a pas réussi à gérer l’angoisse que la réalité lui a fait ressentir.
C’est pourquoi il est absolument primordial de ne pas se diviser. Oui, les gens sont sous l’emprise du gouvernement et collaborent mais ils font au final simplement ce qui leur semble le mieux pour se protéger de ce qui nous attend, car ils savent aussi bien que nous ce qu’il en est de la réalité.
Voilà pourquoi il est devenu inutile d’essayer de réveiller les gens : ils savent déjà tout ! La meilleure chose à faire est de les aider à accepter cette réalité afin que nous puissions trouver tous ensemble une issue à cette crise. Soyons-là les uns pour les autres, comprenons que chacun fait ce qu’il peut à son niveau, même si quand on regarde la situation on est en droit d’être terrifié du comportement des gens. Or pour la plupart, ce n’est pas leur comportement qui se manifeste, mais simplement une projection des actes et paroles des personnalités perverses qui nous gouvernent.
Nous sommes tous humains mais nous n’avons pas tous les mêmes raisonnements, les mêmes capacités ou aptitudes, et pour certains d’entre nous, se sentir plus en sécurité revient à faire ce qu’on nous demande. Obéir est alors un moyen de se sentir un peu moins en danger, même en ayant compris de quoi il est réellement question : car plus personne à ce stade ne peut nier que tout ceci n’a rien de sanitaire.
Inutile donc de tenter de « réveiller » les gens en plein déni, on ne peut pas dénier quelque chose qu’on ne sait pas. Il est par contre nécessaire d’être plus que jamais compatissant, c’est à dire « se mettre à leur place » pour comprendre, de manière individuelle, quelles sont leurs peurs, et quels seraient les meilleurs moyens pour parvenir à leur faire reprendre conscience de la réalité.
Il s’agit d’un travail absolument titanesque, mais c’est grâce à la compréhension, à la douceur, que l’union sera à nouveau possible. N’oublions pas que si nous ne sommes pas capables de tous nous unir, nous finirons tous broyés par le système pervers et absolument monstrueux qui se montre à nous.
La compassion, l’entraide et l’union deviennent alors les seules armes contre les fous. Étant incapables d’empathie, c’est bien la seule arme que nous ayons et dont ils ne disposent pas : notre humanité. Il ne tient qu’à nous de nous en servir, afin d’aider ceux qui ont peur et de lutter pour l’Etat de droit, pour la dignité humaine et pour le bien-être du plus grand nombre, ensemble et non plus les uns contre les autres.
Alphanumerique
Sources :
Perversion, victimes de violences et déni :
https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Perversion-page-3.html
La communication perverse :
https://www.cairn.info/le-harcelement-moral-la…
Ivermectine :
https://twitter.com/hfarid22764184/…
Hydroxychloroquine :
https://twitter.com/todtwenty/status…
Macron : « nous sommes en guerre » :
https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/03/16/…
Double discours :
https://www.cairn.info/revue-che-vuoi…
Dissonance cognitive :
https://www.toupie.org/Biais/Dissonance_cognitive.htm
Le déni, une ressource nécessaire :
https://www.cairn.info/revue-infokara1-2005-2-page-29.htm
Fermeture de lits :
https://actu.fr/grand-est/nancy_54395/fermetures-lits…
Folie blanche :
https://psychotherapie.ooreka.fr/astuce/voir/352693/psychose-blanche
Projection :
https://www.cairn.info/revue-francaise-de-psychanalyse-2011-3-page-681.htm
L’injection expérimentale facilite l’infection :
https://twitter.com/XRP_LEADER/status/1432367258370654214?s=20
Risques à long terme de l’injection expérimentale Pfizer :
https://twitter.com/_Destinatus_/status/1435711234532335622?s=2