Un mensonge d’État : les hôpitaux

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Des patients Covid-19 en réanimation ont été transférés par hélicoptère pour les faire converger vers certains hôpitaux où les attendaient des équipes de journalistes venus là pour faire les reportages de la peur1. Depuis avril 2020, de nombreuses vidéos publiées sur les réseaux sociaux avec le hashtag #FilmYourHospital ont montré des couloirs et halls d’hôpitaux vides, en France et à l’étranger.

❌ Tandis que la plupart de ces vidéos ont été supprimées de Youtube, les fact-checkers ont évidemment tenté d’étouffer l’affaire avec des titres du style : “Pourquoi les vidéos d’hôpitaux vides ne prouvent pas que le coronavirus est un complot”.2
✔ Comme les checknewsers de Libération l’ont si bien fait remarquer sous le titre, le but n’était pas de prouver que le coronavirus est un complot (sous-entendu que le virus n’existerait pas), mais que les gouvernements exagèrent la crise. Et pour discréditer cela, le journal n’a rien trouvé de mieux à faire que des attaques ad personam, en sélectionnant des vidéos tantôt montées par un type qui prétend que la terre est plate, ne tourne pas et que la station spatiale est une invention, ou bien qui est persuadé que l’homme n’a jamais marché sur la lune et que des aliens vivent sous la glace, ou encore en accusant l’auteur de la vidéo d’être proche de l’extrême droite.

« Je dis bien dans ma dernière vidéo qu’il s’agit d’un sentiment. Je ne peux rien prouver. Mais il me semble que les décisions prises par le gouvernement sont déconnectées de la réalité, en totale opposition avec l’avis des meilleurs médecins. […] Est-ce que nos dirigeants font de leur mieux avec la responsabilité énorme qu’ils ont en ce moment, ou est ce qu’ils sont mus par des intérêts cachés au lieu de servir la nation ? Pourquoi dès qu’on donne une version différente de la version officielle, on est taxé de complotiste ? Des centaines de personnes partout dans le monde montrent que la situation des hôpitaux n’a rien à voir avec ce que décrivent les médias.
» – L’auteur d’une de ces fameuses vidéos, en réponse à Checknews.

❌ En avril 2020, Franceinfo disait : “Vrai ou fake : y a-t-il encore des hôpitaux vides ? Une rumeur raconte que certains hôpitaux seraient vides. S’agirait-il d’un mensonge d’État ? France 2 nous aide à y voir clair”.3
✔ À l’époque, deux paragraphes avaient suffi à ce média pour prétendre que “cette théorie est fausse”, avec des explications qui ne prouvent rien. Un an plus tard, de plus en plus de voix s’élèvent jusque sur le plateau de BFMTV pour témoigner de la réalité du terrain.

« Alors là il y a un mensonge d’État. Je ne comprends pas, parce que regardez aujourd’hui sur le site d’Europe n°1, qui n’est pas encore une station complotiste, qui vous dit en titre la pression continue de baisser sur les hôpitaux en France qui accueille toujours moins de patients malades de Covid-19 selon les chiffres publiés samedi, les hôpitaux comptaient moins de malade du Covid que vendredi. Les hospitaliers que vous interviewez n’arrêtent pas de dire que c’est catastrophique, ils vont être submergés, pour l’instant il n’y a aucune trace de gens qui vont dans les hôpitaux et qui sont malades4. »
Jean-Michel Claverie, fondateur de la Société Française de Virologie, le 25 juillet 2021, avant de se faire couper la parole par la journaliste de BFMTV pour faire place au journal des sports.

En dépit de l’accumulation de preuves et de témoignages, ce mensonge d’État a continué de perdurer pendant plus de 18 mois, avec le fidèle soutien des médias inféodés.

Alors qu’on sait que la majorité des décès lors des épidémies d’infections respiratoires sont dus à des surinfections bactériennes, on constate au plus fort de la première vague de Covid-19 un effondrement de la consommation d’antibiotiques délivrés en pharmacie5.

On observe la même baisse pour tous les antibiotiques conseillés par le Haut Conseil de la santé publique pour traiter les surinfections bactériennes dans les cas de Covid-196.

On aurait aussi dû s’attendre à une surconsommation d’antithrombotiques, la littérature scientifique faisant état de thromboses fréquentes chez les patients atteints de Covid-197.

Dans une étude du 20 avril 2020 réalisée par les membres du Conseil scientifique, on apprend que pendant la période de mars-avril, 50 % des patients hospitalisés ont été placés en réanimation dès le premier jour et que 17 % des patients sont décédés dès le premier jour8.
Cela montre que la plupart des malades du Covid-19, n’ayant pas reçu de traitement précoce de la part de leur médecin, sont arrivés à l’hôpital dans un état qui était déjà fortement dégradé. Il est donc normal qu’ils aient été hospitalisés plus longtemps et avec plus de risques de décéder peu de temps après leur arrivée que pour une grippe prise en charge précocement.

On a aggravé l’état de santé de milliers de patients Covid en les intubant9. Au début de la crise sanitaire, le dogme a été de systématiquement mettre les malades graves du Covid avant même l’apparition de signes évidents de détresse respiratoire sous intubation avec 6 litres d’oxygène, une technique invasive et dont les séquelles peuvent être importantes10. Cela a notamment été confirmé par une note de l’APHP du 25 mars 2020 ayant pour objectif de “limiter le recours aux lits de réanimation sur un levier différent de celui de l’éthique”.11

L’Italie, où une grande majorité des patients placés en soins intensifs et sous respirateur artificiel sont morts, a été un des premiers pays à alerter sur le fait que l’état des malades du Covid-19 se dégrade rapidement après l’intubation, faisant de cette technique un remède pire que le mal12. Le respirateur artificiel introduit en effet une surpression dans les alvéoles du poumon, empirant l’encombrement des micro-vaisseaux sous coagulation induite par la réaction cytokinique. À New York, ce sont 80% des patients intubés qui sont morts, le plus souvent après une ou deux semaines en réanimation. 

Ceci a conduit les hôpitaux américains à retarder le plus possible le recours aux respirateurs et à privilégier l’oxygénothérapie, un mode d’assistance respiratoire non-invasive qui envoie de l’oxygène à haut débit. Mais en France, où règnent des médecins orgueilleux qui n’ont rien à apprendre de ce qui se fait à l’étranger, ce traitement a été faussement soupçonné de favoriser la transmission du virus dans l’air.

Prétendant que les respirateurs artificiels sauvent les cas critiques, Emmanuel Macron a annoncé le 31 mars 2020 la production de 10.000 respirateurs médicaux par un consortium de quatre industriels français. Le 23 avril 2020, une enquête de Radio France a révélé que les modèles commandés ne sont pas utilisables pour ventiler des patients en réanimation et risquent même de tuer en trois jours ceux qui ont un syndrome respiratoire aigu13.

Les hôpitaux privés

Les hôpitaux privés sont restés sous-sollicités , alors qu’ils s’étaient préparés à un afflux de patients atteints du Covid-19 et ont eux-mêmes appelé à être réquisitionnés. Ainsi, ce ne sont pas moins de 10.000 lits qui étaient disponibles au plus fort de l’épidémie14.

« Dans plusieurs régions, y compris parmi les plus touchées, des lits libérés restent vides ou sous-occupées. Les médecins et anesthésistes libéraux des établissements privés sont peu sollicités15. » – Un personnel soignant de la Fédération des cliniques et hôpitaux privés.

❌ “ MENSONGE ! Fake news ! Non, 115.000 lits ne sont pas vides dans les cliniques privées alors que la seconde vague déferle !” , a démenti LCI, parmi bien d’autres médias16.
✔ Le scandale ne portait pas non plus sur 115.000 lits vides, ce chiffre n’ayant été avancé que pour informer du nombre total de lits. Il n’en demeure pas moins que la plupart d’entre eux sont effectivement restés très peu sollicités. Le contenu même de l’article de LCI contraste d’ailleurs avec le titre fallacieux, puisque le média reconnaît ensuite que des “points de blocage ont eu lieu au début de la première vague, de l’aveu des acteurs concernés”.

Du fait de la priorisation des cas “positifs” de Covid, les hôpitaux ont été amenés à déprogrammer la majeure partie des interventions pour d’autres maladies. L’Agence régionale de santé a fixé aux établissements un objectif de 80% de déprogrammation en Île-de-France17.

Le lobby des hôpitaux privés a profité de la crise sanitaire pour faire avancer ses intérêts. Le plan d’urgence pour l’hôpital annoncé par Emmanuel Macron et sur lequel a travaillé la Caisse des dépôts visait en réalité non pas à défendre l’intérêt général, mais à accélérer la marchandisation et à privatiser encore plus la santé18. Selon un rapport du centre de recherche Corporate Europe Observatory du 27 janvier 2021, la marchandisation et la privatisation des soins de santé ont considérablement dégradé la capacité des États membres de l’Union européenne à faire face à l’épidémie de Covid-1919.

Une fois passée le pic de la “première vague”, les hôpitaux publics ont essayé de remplir les lits de réanimation et d’urgence, avec des patients intubés pour une durée de 3 à 6 semaines, afin de montrer qu’ils étaient occupés et pouvoir ainsi les garder du fait de la T2A (Tarification à l’Acte), qui oblige à les occuper en permanence sans quoi ils sont supprimés et le personnel réduit.

« Les hôpitaux marseillais n’ont jamais été saturés, il y a toujours eu des lits disponibles dans les services de réanimation et de soins intensifs. Je veux préciser devant la représentation nationale que les critères changent en permanence. Les hôpitaux sont tellement à bout de souffle que l’on peut comprendre qu’aujourd’hui, dans les services de réanimation, la prudence mène certains confrères à placer en réanimation des personnes qui n’ont besoin que de 3 litres d’oxygène. Mais pour quelqu’un comme moi, qui ai exercé bon nombre d’années en réanimation avant de m’orienter vers la psychiatrie, c’est du jamais vu ! On n’a jamais mis en réanimation des patients pour 2 ou 3 litres d’oxygène20. » Martine Wonner, médecin psychiatre et député, le 1er octobre 2020.

La définition de la réanimation en matière de santé publique était jusqu’en 2020 juridiquement encadrée par une terminologie précise. On différenciait le service de réanimation, l’unité de soins intensifs et l’unité de surveillance continue, correspondant chacun à un certain degré de gravité. Depuis le 1er octobre 2020, on a regroupé ces différentes unités sous le seul terme de “services de réanimation”, amenant à des taux officiels d’occupation des lits de réanimation totalement fantaisistes (jusqu’à 133% en Île-de-France)21.

La Cour des comptes a dressé un bilan du fonctionnement des services hospitaliers de soins critiques durant la période de gestion de crise qui fait état d’indicateurs opaques22.

« Le taux d’occupation des réanimations présenté par des autorités publiques ou par des sites internet publics à partir des données de Santé publique France sur data.gouv.fr est opaque à trois égards :
– Il ne s’agit pas de réanimations mais de l’ensemble des soins critiques
– Il s’agit des lits occupés par des patients « covid », à l’exclusion des autres patients
– Enfin, la référence est celle des capacités en soins critiques (ou en réanimation ?) d’avant crise. Le nombre de lits de réanimation effectivement autorisés et armés n’a jamais été publié. »

« Ces imprécisions sur les périmètres des soins critiques et de la réanimation, doublées de l’absence d’information sur les capacités, a pu être source de confusion. En lisant les communications officielles, le grand public a pu avoir l’impression que l’on s’approchait du nombre fatidique de 5 000 patients qui correspond à la capacité nationale de réanimation alors qu’il s’agit du nombre de patients atteints de la Covid-19 admis en soins critiques. La part de lits de réanimation réservés aux patients non covid n’est également pas communiquée. »
Pages 58 et 59 du rapport du 22 septembre 2021 de la Cour des comptes.

Tout comme pour le changement par l’OMS de la signification de ce qu’est une pandémie, on voit qu’un simple petit changement de définition ouvre la voie à bien des manipulations.

L’ATIH (Agence technique de l’information sur l’hospitalisation), un établissement public sous l’égide du ministère de la Santé et qui est chargé de collecter, d’analyser et de restituer des données de l’activité hospitalière, a publié le 28 octobre 2021 son analyse des prises en charge hospitalières du Covid-19 en 202023. On apprend dès le début de ce rapport que 217.974 patients ont été hospitalisés pour prise en charge du Covid, ce qui représente 2% de l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020, tous champs hospitaliers confondus. Un nombre étonnamment assez éloigné de celui que l’on peut trouver sur Géodes, le portail des statistiques du Ministère de la Santé, et qui est de 277.821 en 202024. L’explication tient au fait que l’ATIH n’a pas intégré au champ d’analyse les hospitalisations de patients testés positifs au Covid-19 mais asymptomatiques ou dont le motif de recours à l’hospitalisation de court séjour n’était pas le Covid-19, qui représentent tout de même 20% des statistiques officielles.

Parmi ces patients Covid, 45.732 ont été admis en soins critiques en 2020, soit 5% du total. Et sur ces patients, 29.096 ont fini en réanimation, soit 11% du total.

Le nombre de décès pour cause de Covid-19 s’élève à 44.091, soit 11% de l’ensemble des décès hospitaliers survenus au cours de l’année 2020.

Parmi les patients hospitalisés en service de soins critiques pour Covid, 82% d’entre eux présentaient une ou plusieurs comorbidités graves. Plus précisément, 63% avec des facteurs de risque cardiovasculaires (30% de diabète et 22% d’obésité), 21% avec des pathologies respiratoires, 28% avec des pathologies cardiovasculaires, 11% en insuffisance rénale chronique, 27% avec des carences (anémie, vitamine D et dénutrition) et 10% qui étaient porteurs d’un cancer. À titre de comparaison, seuls 55% des patients hospitalisés pour la grippe en 2019 présentaient une de ces comorbidités. Les taux d’hospitalisation en soins critiques et en réanimation les plus importants pour le Covid concernaient les hommes âgés de 75 à 79 ans.

« Je suis entré dans deux chambres dans ce service de réanimation de Corbeil-Essonnes. Dans la première chambre, il y avait un jeune homme de 28 ans, en coma, intubé, ventilé. Dans la deuxième chambre, il y avait un homme en surpoids âgé de 35 ans. C’est ça la réalité, mesdames et messieurs les députés ! Si vous ne voulez pas l’entendre, sortez d’ici ! Elle est là la
réalité de nos hôpitaux ! C’est ça la réalité dans nos hôpitaux 25! »
Olivier Véran, le 4 novembre 2020 à l’Assemblée nationale, en tentant de faire croire que
l’exception est la règle et que les hôpitaux étaient submergés par l’épidémie de Covid-19.

❌ Des fact-checkers tels que Franceinfo et Checknews se sont évidemment empressés d’ensevelir sous des explications fallacieuses la bombe que constituent les résultats de ce rapport26. Leur premier argument est que les personnes pointant du doigt le décalage entre les conclusions du rapport de l’ATIH et la perception de l’impact de l’épidémie sur l’activité hospitalière n’ont pas tenu compte de la durée des hospitalisations, qui a été plus longue pour les patients Covid que pour les patients non Covid.
✔ Même en comptant le nombre de jours d’hospitalisation, cela ne représente toujours que 4% des prises en charge, 8% des soins critiques et 19% des réanimations, ce qui reste encore bien loin de la situation catastrophique que le gouvernement nous avait décrite.

Le deuxième argument des fact-checkers est que cette pression hospitalière liée au Covid a très fortement varié au gré des deux vagues épidémiques qui ont traversé l’année. Mais Les fiches synthétiques de l’ATIH nous permettent de mesurer l’activité hospitalière mois par mois et de la comparer à l’activité liée à la Covid-19. Ainsi, au plus fort de l’activité Covid, cette dernière n’a représenté que 7,5% de l’activité hospitalière. On constate également que plus l’hôpital a déclaré une part importante de Covid-19 et plus son activité a en fait baissé27.

De fait, et en dépit des mensonges d’État et de la presse, 2020 a été l’année la plus calme à l’hôpital depuis des décennies.

Évolutions mensuelles de l'activité

De même, on constate dans les chiffres officiels un effondrement du nombre de passages aux urgences lors du premier confinement et sur l’ensemble de l’année 2020.

Sur les prises en charge hospitalières restreintes au champ de l’hospitalisation à domicile, qui regroupent 5% des patients hospitalisés pour Covid 78% ont été pris en charge en Ehpad.

Liutwin

Sources :

1https://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/coronavirus-le-transfert-de-patients-s-accelere-l-epidemie-aussi_2122239.html

2https://www.liberation.fr/checknews/2020/04/10/pourquoi-les-videos-d-hopitaux-vides-ne-prouvent-pas-que-le-coronavirus-est-un-complot_1784818

3https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vrai-ou-fake-y-a-t-il-encore-des-hopitaux-vides_3910989.html

4https://www.francesoir.fr/societe-sante/un-mensonge-detat-jean-michel-claverie-jette-un-froid-sur-bfmtv

5https://anthropo-logiques.org/covid-19-un-crime-de-masse-des-statistiques-au-scandale-comment-la-france-n-a-pas-soigne-prescrit-ou-combattu-la-covid

6https://www.vidal.fr/actualites/25108-covid-19-et-antibiotherapie-les-recommandations-du-hcsp.html

7https://www.thelancet.com/journals/eclinm/article/PIIS2589-5370(20)30383-7/fulltext

8https://hal-pasteur.archives-ouvertes.fr/pasteur-02548181/document

9https://pgibertie.com/2021/01/21/un-nouveau-scandale-pour-la-bande-a-veran-ils-ont-aussi-merde-sur-les-respirateurs

10https://www.lci.fr/sante/coronavirus-l-intubation-des-patients-un-geste-tout-sauf-anodin-2150210.html

11http://aphp.aphp.fr/wp-content/blogs.dir/268/files/2020/03/Reanimation_Controle-flux-patients_20200325.pdf

12https://www.france24.com/fr/20200415-pour-r%C3%A9duire-la-mortalit%C3%A9-du-covid-19-des-m%C3%A9decins-intubent-les-malades-plus-tard

13https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-8500respirateurs-artificiels-ont-ils-ete-fabriques-pour-rien_3930273.html

14https://www.huffingtonpost.fr/entry/coronavirus-pourquoi-les-hopitaux-prives-sont-sous-sollicites-le-plan-blanc-lexplique-en-partie_fr_5e7c87aac5b6cb9dc19af6aa

15https://www.cnews.fr/france/2020-03-31/en-pleine-urgence-sanitaire-pourquoi-des-cliniques-privees-sont-elles-vides-942173

16https://www.lci.fr/sante/non-115-000-lits-ne-sont-pas-vides-dans-les-cliniques-privees-alors-que-la-seconde-vague-deferle-2169279.html

17https://www.lci.fr/sante/covid-19-cliniques-et-hopitaux-franciliens-appeles-a-deprogrammer-80-des-operations-2181529.html

18https://www.mediapart.fr/journal/france/010420/hopital-public-la-note-explosive-de-la-caisse-des-depots

19https://corporateeurope.org/en/2021/01/when-market-becomes-deadly

20https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/comptes-rendus/seance/session-ordinaire-de-2020-2021/deuxieme-seance-du-jeudi-01-octobre-2020

21https://www.liberation.fr/societe/sante/les-lits-en-reanimation-sont-ils-vraiment-satures-20210402_XTXRUAQLN5F35CPQ4JOSI3ZE3A

22https://www.ccomptes.fr/fr/publications/les-soins-critiques

23https://www.atih.sante.fr/analyse-de-l-activite-hospitaliere-2020

24https://geodes.santepubliquefrance.fr/

25https://youtu.be/7-KuOdWLnOA

26https://www.liberation.fr/checknews/est-il-vrai-que-les-patients-covid-nont-represente-que-2-du-total-des-hospitalisations-en-france-en-2020-20211111_BEEG2I2RTRAX7O3Q5LD2D33J4I/

27https://mobile.agoravox.fr/actualites/sante/article/l-activite-hospitaliere-en-2020-la-237405

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