Un mensonge d’État : les chiffres

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Au cœur de la manipulation

Le premier décès officiel dû au Covid-19 dans le Tarn-et-Garonne le 21 mars 2020 avait en réalité été admis aux urgences à la suite d’une grave chute ayant entraîné un traumatisme crânien qui lui a été fatal1.

De nombreux personnels soignants et proches des personnes décédées ont témoigné que des gens morts de pathologies graves autres que le coronavirus ont été déclarés morts du coronavirus, simplement parce que le test RT-PCR était positif2. Des familles de personnes décédées pour diverses raisons ont témoigné avoir accepté qu’elles soient déclarées décédées du Covid en échange de ne pas payer le forfait hospitalier.

« On a des certificats de décès, que j’ai pu constater dans la mairie où j’appartiens, à savoir des personnes très âgées, qui sont décédées et marquées Covid-19. Or il n’y a jamais eu de Covid-19 chez ces patients3. » – Jean-Pierre Door, cardiologue et député du Loiret.

Une femme ayant perdu son conjoint a témoigné que “le médecin a aussitôt attribué cette mort à la Covid” alors qu’il “était en très bonne forme deux heures auparavant4”. Le cercueil a été scellé aussitôt et le curé lui a même demandé pourquoi elle était présente à l’enterrement.

Le décret n° 2020-663 du 31 mai 2020 a imposé que “les défunts atteints ou probablement atteints du covid-19 au moment de leur décès font l’objet d’une mise en bière immédiate”.

Des médecins ont affirmé que le gouvernement a fait pression afin de les dissuader de réaliser des autopsies sur les malades du Covid, “par sécurité”. Et les diverses “recommandations” de l’OMS ont conduit au constat qu’il n’y ai quasiment plus d’autopsies ou de tests PCR post-mortem5 en pratique.

Santé Publique France a souligné dans son rapport du 22 juillet 2020 “qu’en l’absence de tests PCR systématiques, certains décès déclarés ont probablement été à tort associés à la Covid-19”, faisant état d’une marge d’erreur possible de 5.000 sur les 30.000 décès officiels6.

Pour encourager les médecins à signaler les cas de Covid-19, les consultations déclarées Covid sont facturées deux fois plus cher qu’une consultation normale7.

❌ “Non, votre consultation médicale ne vous coûtera pas 55 €”, ont argué les médias8.
✔ Ce n’est effectivement pas le patient qui paie, mais la Sécurité sociale, ce qui ne change rien au constat. Il a même été question d’une prime pour répertorier les cas contacts, qui a été dénoncée par des médecins y voyant là une forme de délation malsaine. Les médias qui l’ont démenti en gros titres et ont joué sur le fait que la mesure a depuis été supprimée9.

Tout a été fait pour gonfler les chiffres du Covid et brouiller les vraies causes des décès.

Depuis septembre 2021, un nouveau concept est expérimenté dans les écoles primaires : si vous êtes un cas contact et que vous ne voulez pas vous faire tester, vous êtes automatiquement considéré comme étant un cas positif10.

Malgré toutes les manipulations qui ont été faites pour gonfler les chiffres, le Covid-19 ne se place qu’au 3ème rang en termes de surmortalité dû à des épidémies de maladies infectieuses au cours des 10 dernières années11.

Chaque hiver, il y a un pic de surmortalité lié à la grippe saisonnière. Les années où le pic est plus élevé que d’habitude, l’année d’après il le sera moins, un certain nombre de personnes âgées ou à risque ayant déjà rendu l’âme l’année précédente. On remarque d’ailleurs que les pics de mortalité sont de plus en plus élevés et que le modèle de saisonnalité de la grippe progresse de façon linéaire depuis 2010. Cela s’explique naturellement par un fait que tous les médias semblent avoir oublié depuis le début de la crise sanitaire. En effet, la première génération de “baby boomers”, qui sont aujourd’hui devenus des “old boomers”, se fait nettement ressentir dans les chiffres de la mortalité en France, le risque de décès augmentant après 65 ans12.

Les babyboomers ont maintenant plus de 70 ans. Le Covid a donc bon dos pour masquer un enjeu sanitaire qui n’a pas été anticipé par les gouvernements successifs.

Il y a 15.000 morts de la grippe saisonnière en moyenne chaque année en France et ce sans l’interdiction des traitements. Il y a eu entre 25.000 et 30.000 morts de la grippe en 2017. Pour rappel, nous comptions officiellement 12.800 morts du Covid-19 en France lorsque l’état d’urgence a été décrété en mars 2020. Les médias qui ont fallacieusement avancé pour la grippe le nombre de 5.000 décès parlaient en réalité de surmortalité par rapport aux années précédentes, ce qui n’a rien à voir avec la méthode de comptage du Covid-19. En mars 2020, on n’avait officiellement dénombré que 88 morts de la grippe pour l’hiver 2019-202013. Ce qui est statistiquement tout simplement impossible.

Mais alors… où est passée la grippe ?

Les informations sur la surveillance des laboratoires de grippe de l’OMS montrent un nombre record de lignées de grippe “non déterminée” en 202014, ce qui concorde avec le fait qu’on ne savait pas au début de l’épidémie différencier le coronavirus de la grippe. Elles montrent également que toute forme de grippe aurait été “éradiquée” pile au moment où on a commencé à effectuer des dépistages RT-PCR.

Nombre de spécimens positifs pour la grippe

La grippe en 2020 et 2021 est portée disparue, brouillée par l’épidémie de coronavirus

❌ “L’épidémie de grippe n’a toujours pas démarré grâce aux gestes barrières”, ont prétendu les médias qui semblent vraiment nous prendre pour des “covidiots”15.
✔ Les gestes barrières seraient donc efficaces contre la grippe au point de l’éradiquer mais pas contre le Covid-19 ?

Fait très révélateur, les membres du CDC ont alerté les laboratoires le 21 juillet 2021 qu’ils retireraient début 2022 à la FDA la demande d’autorisation d’urgence des tests RT-PCR, et les a encouragés à “envisager l’adoption d’une méthode multiplexée pouvant faciliter la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et des virus de la grippe”16.

Le virus du SARS-CoV-2 n’avait pas été isolé au moment où les tests ont été développés. Il a juste été simulé, comme la FDA l’a elle-même admis en page 41 de son document d’instruction d’utilisation du test RT-PCR qui a été distribué par les CDC le 12 janvier 202017 :

« Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro dopés dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique. »

Les statistiques des décès quotidiens à l’hôpital et diffusés par Santé publique France montrent à partir du 1er avril 2020 une courbe de décès non Covid baisser de manière inhabituelle, à mesure que la courbe des décès étiquetés Covid augmente18.

On voit un transfert qui laisse penser que les décès ont soit été attribués de façon abusive au Covid-19, soit que les personnes avec d’autres pathologies ont été exclues de l’hôpital et sont donc mortes ailleurs mais il s’agit en réalité certainement d’une somme de ces deux possibilités. Lors de la “deuxième vague”, on remarque que la mortalité hors Covid est la même que pendant l’été, suggérant que toute la surmortalité hivernale habituelle provenant de toutes les épidémies qui circulent a entièrement été attribuée au Covid-19.

Les déserts médicaux progressent en France, impactant un Français sur 10. Les délais insupportables conduisent souvent les malades à renoncer à se soigner, l’unique recours étant de se rendre aux urgences et donc de contribuer à la saturation de celles-ci19. Mais pour la première fois, de nombreuses personnes malades ou porteuses de graves pathologies ont fui les hôpitaux par peur du coronavirus. Et, faute de soins, nombre d’entre elles ont fini par décéder à leur domicile, contribuant ainsi aux chiffres de surmortalité20.

« Quand on dit aux gens “Il ne faut plus vous soigner, restez à la maison !”, on revient sur 2.500 ans de pratique médicale. Et ça se termine par une mortalité effroyable21. »
Pr Didier Raoult, le 8 novembre 2021

L’état d’urgence sanitaire a porté atteinte à la liberté de prescrire des médecins de ville, pourtant prévue par la législation française, ce qui a aussi sans doute contribué à l’engorgement de certains hôpitaux22.

« Dans les limites fixées par la loi et compte tenu des données acquises de la science, le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance. Il doit, sans négliger son devoir d’assistance morale, limiter ses prescriptions et ses actes à ce qui est nécessaire à la qualité, à la sécurité et à l’efficacité des soins. Il doit tenir compte des avantages, des inconvénients et des conséquences des différentes investigations et thérapeutiques possibles. » – Article R4127-8 du Code de la santé publique.

« Dans l’intérêt des assurés sociaux et de la santé publique, le respect de la liberté d’exercice et
de l’indépendance professionnelle et morale des médecins est assuré conformément aux principes déontologiques fondamentaux que sont le libre choix du médecin par le malade, la liberté de prescription du médecin, le secret professionnel, le paiement direct des honoraires par le malade, la liberté d’installation du médecin, sauf dispositions contraires en vigueur. »
Article L162-2 du Code de la sécurité sociale

En principe, lorsqu’ils prescrivent, les médecins se doivent de respecter les autorisations de mise sur le marché (AMM), qui démontrent l’efficacité et l’innocuité de chaque médicament au regard de la ou des maladie(s) ciblée(s) par celui-ci. Des prescriptions hors AMM restent cependant possibles, s’agissant d’une pratique strictement encadrée par la loi qui engage la responsabilité du médecin et dont on estime qu’elle représente 20% des prescriptions23.

« Les articles L. 5121-8 et L. 5121-9-1 ne font pas obstacle à l’utilisation exceptionnelle, au titre
de l’accès compassionnel, de certains médicaments, dans des indications thérapeutiques
précises, lorsque les conditions suivantes sont réunies :

  1. Le médicament ne fait pas l’objet d’une recherche impliquant la personne humaine à des fins commerciales ;
  2. Il n’existe pas de traitement approprié ;
  3. L’efficacité et la sécurité du médicament sont présumées au regard des données cliniques
    disponibles ainsi que, lorsque l’indication concerne une maladie rare, des travaux et des données collectées par les professionnels de santé dans des conditions définies par décret en Conseil d’Etat. » – Article L5121-12-1 du Code de la santé publique.

Le Haut conseil de la Santé publique a publié pendant le premier confinement des avis restreignant la prescription d’hydroxychloroquine et d’antibiothérapie pour les patients atteints de Covid-1924. Le décret n° 2020-647 du 27 mai 2020 a ensuite rendu la prescription d’hydroxychloroquine en médecine de prévention purement et simplement impossible, la réservant à la médecine hospitalière. Les consignes du ministre de la Santé Olivier Véran étaient : en cas de symptômes grippaux, de rester chez soi et de prendre du paracétamol25.

« Durant le confinement, à aucun moment on n’a pu faire de la médecine. On a reçu des injonctions nous disant que si on recevait des personnes en cabinet on pouvait avoir des contrôles et on pouvait être éventuellement sanctionné. » – Dr Fatiha Manouach, médecin.

« Au début du confinement il a été demandé aux médecins d’arrêter de soigner… Les patients suspectés d’avoir le Covid étaient renvoyés chez eux sans être examinés, avec du Dafalgan comme seul traitement… C’est contraire à la médecine. » – Dr Pierre Brihaye, médecin ORL.

Les chiffres de Santé publique France sur le nombre d’hospitalisations liées au
Covid-19 ne reflètent pas les remontées réelles du terrain dans les hôpitaux26

Santé publique France, organisme sur lequel le gouvernement s’appuie pour sa litanie quotidienne de chiffres, s’est montré plus rigoureux pour donner le nombre de “cas positifs” que le nombre de morts et d’hospitalisation, faisant parfois état de “pannes informatiques”27.

En septembre 2020, on a relevé des incohérences dans les chiffres de Santé Publique France qui ont faussé le nombre de décès supplémentaires28. Un établissement hospitalier avait notamment transmis d’un coup les dossiers de patients qui avaient été hospitalisés au cours des derniers mois.

En octobre 2020, le nombre de décès attribués à la grippe qui était jusqu’alors officiellement de 88 a été mis à jour par Santé Publique France pour être porté à 3.70029.
Malgré tout, les soupçons d’attribution de décès dus à la grippe attribués au Covid-19 perdurent, avec seulement 6 cas de grippe relevés entre octobre et novembre 202030.

En mars 2021, le Dr Martin Blachier est revenu sur une de ses modélisations, qui prédisait 85.000 morts en France en 2020 et qui “avait été reçue comme quelque chose de fou et d’alarmiste”, pour se prévaloir qu’elle était en fait “prémonitoire”31. Le 15 avril 2021, les médias ont fait une opération de communication en annonçant que la barre symbolique des 100.000 décès dus au Covid-19 a été franchie32.

Et depuis quand ne remet-on plus les compteurs des épidémies à zéro chaque année ?

Le 20 mai 2021, Santé Publique France a indiqué qu’une faille dans l’algorithme liant chaque résultat de test à l’émission d’un pseudonyme anonymisé a conduit à des doublons dans la remontée des tests, faisant surestimer le taux de positivité de 12%33.

« On peut débattre de tout, sauf des chiffres34. »
Slogan de propagande du ministère des Solidarités et de la Santé.

68.000 personnes seraient mortes du Covid-19 au cours de l’année 2020, entraînant une surmortalité de 55.000 par rapport à 2019, soit une hausse de 9,2%. Mais, selon une étude de l’Institut National des Études Démographiques, une partie de cette hausse est imputable à des personnes qui seraient “de toute façon décédées” d’une autre cause, dont 13.000 qui sont statistiquement, en l’absence de gain de l’espérance de vie, dus au vieillissement35.

Selon les données corrigées de Santé Publique France, 46.803 personnes sont finalement mortes du Covid entre mars 2020 et mars 2021, bien loin des 100.000 annoncées le 15 avril. Seuls 55% des certificats de décès contenaient une mention d’infection au SARS-CoV-2 confirmée. Les décès certifiés avec une mention de Covid-19 dans les causes médicales de décès indiquent que 16.411 personnes sont réellement mortes à cause du Covid, les 30.392 restants étant morts avec le Covid. Aucun enfant de moins de 14 ans n’est réellement mort du Covid-19. L’âge médian du décès était de 73 ans et 74% des personnes avaient plus de 75 ans36.

Cette “pandémie” est la plus grosse imposture de toute l’histoire de la médecine.
Des comptes seront à rendre sur le fait de terroriser toute une population en s’appuyant sur des chiffres surestimés, pour ne pas dire falsifiés.


Liutwin

Sources :

1https://www.ladepeche.fr/2020/03/21/tarn-et-garonne-covid-19-le-premier-deces-est-confirme,8812877.php

2http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ma-vie-est-devenue-un-enfer

3https://twitter.com/doorjean/status/1324264348538314752

4https://actu.fr/societe/coronavirus/temoignage-et-si-des-deces-etaient-attribues-par-erreur-a-la-covid_39066346.html

5https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/331672/WHO-COVID-19-lPC_DBMgmt-2020.1-fre.pdf

6https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/rapport-synthese/surveillance-de-la-mortalite-au-cours-de-l-epidemie-de-covid-19-du-2-mars-au-31-mai-2020-en-france

7https://www.lequotidiendumedecin.fr/liberal/exercice/55-euros-la-consultation-covid-un-generaliste-denonce-une-tarification-absurde

8https://www.ladepeche.fr/2020/05/07/non-votre-consultation-medicale-ne-vous-coutera-pas-55-si-vous-avez-le-coronavirus,8877840.php

9https://www.liberation.fr/checknews/2020/05/12/covid-19-finalement-les-medecins-ne-beneficieront-pas-d-une-prime-au-signalement-des-cas-contacts_1788014

10https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-un-nouveau-protocole-sanitaire-prochainement-experimente-dans-les-ecoles-primaires-d-une-dizaine-de-departements_4787127.html

11https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/graphiques-cartes/population_graphiques

12https://www.lexpress.fr/actualite/societe/plus-de-600-000-deces-l-an-dernier-en-france_2039918.html

13https://www.ladepeche.fr/2020/03/05/avec-72-morts-la-grippe-a-beaucoup-moins-tue-cet-hiver-en-france,8777067.php

14https://apps.who.int/flumart/Default?ReportNo=10

15https://www.ouest-france.fr/sante/grippe/covid-19-l-epidemie-de-grippe-grippe-n-a-toujours-pas-demarre-grace-aux-gestes-barrieres-7104341

16https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html

17https://www.fda.gov/media/134922/download

18https://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/100-000-morts-vraiment-232648

19https://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-757QOSD.htm

20https://www.europe1.fr/sante/apres-le-coronavirus-des-medecins-craignent-une-deuxieme-vague-de-patients-qui-ont-evite-lhopital-depuis-mars-3973373

21https://qactus.fr/2021/11/09/pr-d-raoult-on-revient-sur-2-500-ans-de-pratique-medicale-et-ca-se-termine-par-une-mortalite-effroyable

22https://www.eurojuris.fr/categories/coronavirus-13013/articles/covid-19-et-prescription-hydroxychloroquine-39597.htm

23https://www.conseil-national.medecin.fr/publications/communiques-presse/prescription-delivrance-medicaments-amm

24https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/Telecharger?NomFichier=hcspa20200323_coronsarscovrecomthrap.pdf

25https://twitter.com/olivierveran/status/1238776545398923264

26https://www.nicematin.com/sante/pourquoi-le-nombre-de-malades-entre-les-donnees-de-sante-publique-france-et-celles-des-hopitaux-est-si-different-notre-decryptage-630970

27https://www.lefigaro.fr/sciences/en-direct-coronavirus-covid-19-jean-castex-macron-france-inter-annonces-mesures-epidemie-reprise-rentree-20200826

28https://www.ladepeche.fr/2020/09/19/coronavirus-une-erreur-de-sante-publique-france-fausse-le-nombre-de-deces-supplementaires-9082490.php

29https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/grippe/documents/bulletin-national/bulletin-epidemiologique-grippe.-bilan-de-la-surveillance-saison-2019-2020

30https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/covid-19-les-gestes-barrieres-ont-ils-fait-disparaitre-la-grippe-1607498158

31https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/bientot-85-000-morts-du-covid-19-en-france-il-y-a-un-an-c-etait-vu-comme-fou-et-alarmiste-7164909

32https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-la-barre-symbolique-des-100-000-morts-a-ete-franchie_4374531.html

33https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2021/des-indicateurs-plus-precis-pour-le-suivi-des-cas-confirmes-de-covid-19

34https://www.gouvernement.fr/vaccination-il-y-a-des-chiffres-qui-piquent-bien-plus-qu-une-aiguille

35https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/le-covid-naurait-cause-que-42000-morts-supplementaires-en-france-en-2020-1298983

36https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/342324/document_file/COVID19-PE_20210506_signets.pdf

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