La pharmacovigilance est-elle fiable ?

Une causalité occultée

« Les rapports de l’ANSM qui sont publics et transparents ne déplorent à ce stade pas de cas avérés de décès imputables à la vaccination. Il y a encore des études et des enquêtes qui sont en cours, si jamais la situation devait évoluer ce serait transmis publiquement et en toute transparence. Je vois passer parfois des chiffres complètement farfelus sur une sphère Internet qui est plutôt très anti vaccin et je me réfère moi à l’Agence nationale de sécurité du médicament qui en toute indépendance et transparence communique sur la réalité des faits1. » – Olivier Véran, Ministre de la Vérité, le 15 octobre 2021.

« Il y a des événements indésirables graves avec ces vaccins, mais tout le monde le dit. C’est-à-dire que ce n’est pas caché. Il y a ef ectivement eu des myocardites, il y a eu des péricardites, il y a eu des paralysies faciales. Et ça on le sait. Et d’ailleurs c’est admis par l’Agence européenne, par l’Agence américaine et par l’Agence française. Personne ne dit qu’il n’y a pas d’événement indésirable. Et vous allez en trouver. Et probablement que même celles qui sont déclarées sont bien moins importantes que le nombre de cas qui existent réellement, parce qu’ils ne sont pas tous déclarés. Donc ça c’est une réalité et personne ne l’a jamais caché. Des décès, il y en a quelques-uns, peut-être une dizaine dans les rapports de l’ANSM, c’est extrêmement peu, après les gens vont dire qu’ils ne sont pas tous rapportés, et c’est vrai ! On sait qu’en pharmacovigilance ils ne sont pas tous rapportés, parfois il y a peut-être un rapport de 1 à 10, de 1 à 1002 » – Dr Martin Blachier, épidémiologiste, le 15 octobre 2021.

Alors, qui d’Olivier Véran ou de Martin Blachier ment ? Les deux, si on se réfère aux données du rapport de pharmacovigilance de l’ANSM comme prétend le faire Olivier Véran. Voici les chiffres arrêtés au 24 septembre 20213 :

1ère dose 2ème dose 3ème dose Cas déclarés Cas graves Décès
Pfizer 37 693 645 30 800 423 109 807 46 817 12 973 905
Moderna 5 223 102 4 312 404 31 514 10 586 3 327 77
AstraZeneca 43 79 037 34 05 761 2 768 25 643 6 023 216
Janssen 1 038 033 745 298 24
TOTAL 48 333 817 38 518 588 144 089 83 791 13 271 1 222
SOURCE: ANSM
Cela peut paraître proportionnellement peu, mais rappelons qu’il ne s’agit pour l’instant que des effets à court terme. Cela représente tout de même déjà plus que le nombre d’homicides perpétrés en France en 20204. L’ANSM précise toutefois dans sa synthèse des résultats que “concernant les cas de décès déclarés, les éléments transmis n’indiquent pas un rôle potentiel du vaccin”. Il y aurait donc là un facteur de surévaluation du nombre d’événements indésirables réels. À noter également qu’un même sujet a pu présenter plusieurs effets secondaires. Cependant, l’ANSM explique également que la pharmacovigilance « n’a pas vocation à rendre compte de l’exhaustivité du nombre de cas réellement survenus en France5 ».

S’il y a un facteur de surestimation, il y a aussi et surtout des facteurs de sous-estimation.

La pharmacovigilance est une activité ayant pour objet la surveillance du risque d’effets indésirables n’ayant pas été identifiés dans les essais cliniques. La politique de pharmacovigilance en France n’a cependant pas empêché la vente libre ou la prescription sur ordonnance de médicaments dangereux (Mediator, Depakine…).

« La pharmacovigilance pose un vrai problème parce qu’en France elle a été dessinée pour ne rapporter que les cas qui n’étaient pas précédemment listés dans ce qui pouvait advenir d’effets secondaires dans le protocole de Pfizer6. »- Alexandra Henrion-Caude, généticienne.

RTL a tenté de démentir en titrant : “La pharmacovigilance en France ne surveillerait pas les effets secondaires déjà listés par Pfizer ? La Belgique et l’Europe le font…7. »
L’article était supposé parler de la France ou bien de la Belgique, en fait ? Finalement, le titre trompeur de l’article est démenti par son contenu qui explique que « surveiller l’apparition d’effets secondaires déjà connus et listés par Pfizer n’est pas l’intérêt premier de cette pharmacovigilance. »

Le centre régional de pharmacovigilance de Tours, débordé par l’afflux de signalements sur les effets secondaires des vaccins anti-covid, a par ailleurs rappelé que «les médecins n’ont pas à signaler les effets déjà connus8. » Le personnel de santé a cependant été surpris par les signalements de thromboses, qui n’étaient pas présents dans les rapports d’essais cliniques.

La notification des effets indésirables des vaccins est une méthode passive qui repose sur des événements ayant volontairement été déclarés par les professionnels de santé ou par les personnes vaccinées. Évidemment, les personnes décédées ne risquent pas de le signaler et les familles endeuillées n’y penseront sans doute pas. Quant au médecin qui aura tué son patient… Les auteurs de l’enquête internationale Implant Files ont estimé que “seuls 1 à 10% des effets indésirables liés aux dispositifs médicaux sont recensés”. Et selon un document issu d’un projet de l’Agence américaine pour la Recherche et la Qualité en Santé, «moins de 1% des événements indésirables liés aux vaccins sont signalés9. » Ce faible taux empêche ou ralentit ainsi l’identification des vaccins “à problèmes” qui mettent en danger la santé publique.

« Il y a un problème de sous-déclaration pour les dispositifs médicaux comme pour les médicaments. Il est difficile d’évaluer le degré de sous-évaluation, mais il y a bien une sous-déclaration. Les informations dont dispose l’agence sont des signalements qui sont effectués soit par les professionnels de santé soit par les industriels10. » Dominique Martin, directeur de l’ANSM, le 27 novembre 2018.

« Il y a eu 350 personnes vaccinées et diagnostiquées ici, déjà… C’est beaucoup. On a eu une collègue qui nous a rapporté les données de la pharmacovigilance ; au moment où elle nous les rapportait, dans toute la France il y avait moins de cas rapportés que simplement à l’IHU. Donc je pense que la saisie des données est peut-être incomplète11. » Pr Didier Raoult, microbiologiste spécialiste des maladies infectieuses, le 11 mai 2021.

Les effets secondaires étant sous-notifiés, les données officielles sont donc sous-estimées.

VigiBase, la base de pharmacovigilance de l’OMS qui regroupe les déclarations d’effets secondaires des médicaments au niveau mondial, n’est pas accessible au public, mais on peut toutefois en consulter les données par le biais d’une version simplifiée, VigiAccess12. Si on compare le nombre d’effets indésirables associés à chaque type de vaccin, année par année depuis 1968, on trouve un nombre inédit de 10 fois supérieur au total des événements rapportés en 2019, tous vaccins confondus, pour plus 5 milliards de doses administrées13.
Effets secondaires déclarés en lien avec les vaccins
« Jamais de ma vie je n’avais vu une remontée d’ef ets secondaires officielle aussi importante qu’avec les vaccins Covid. Il faut que vous sachiez qu’il y a 100 fois plus de remontées d’ef ets secondaires avec les vaccins Covid qu’avec tous les autres vaccins. Ça n’impressionne personne, on continue à vacciner tout le monde. Normalement, avec les règles de sécurité du médicament, un médicament qui a autant d’ef ets secondaires est arrêté immédiatement14. » Dr Éric Ménat, médecin généraliste.

Jamais on avait laissé sur le marché un médicament avec autant d’effets secondaires

« La question des effets secondaires graves des vaccins anti-covid fait l’objet d’un déni et d’un silence proprement scandaleux de la part du gouvernement et des principales agences sanitaires (Agence nationale de sécurité du médicament, Haute autorité de santé, Haut conseil de santé publique, etc.). Tout se passe comme s’il s’agissait d’un véritable tabou, en France comme dans la plupart des autres pays occidentaux. Cette mortalité vaccinale (qui n’est que la pointe émergée de l’iceberg des effets indésirables graves) est inédite, elle est particulièrement grave et sa dissimulation l’est plus encore. Soyons clair : dissimuler d’une façon ou d’une autre un tel danger est tout simplement criminel vis-à-vis de la population15. » Laurent Mucchielli, directeur de recherche au CNRS, qui a depuis été dépublié par Médiapart16.

Les autorités en conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique tentent coûte que coûte, avec le soutien des médias aux ordres, de dissimuler ces données par les mensonges et la censure.

VAERS

VAERS, la base de données de pharmacovigilance américaine, est en adéquation avec ces chiffres avec une explosion d’une nombre des décès potentiellement liés à des vaccins17. Au 9 juillet 2021, on avait signalé 10.991 décès à VAERS, dont 4.593 sont survenus dans les 72 heures suivant la vaccination18. Des décès qui sont sous-déclarés et donc sous-estimés par le CDC.
Nombre de morts par an après vaccination
On pourrait penser que cela est dû au fait que l’on a plus vacciné en 2021 que les années précédentes, mais non, un grand nombre de doses étant également administrés avec d’autres vaccins. Par exemple, le nombre de doses de vaccins contre la grippe vendus en 2019 s’élève à 10,6 millions. Les chiffres exprimés en relation au nombre de doses montrent 82 fois plus de décès et 30 fois plus d’effets secondaires graves signalés après les vaccinations Covid par rapport aux vaccins contre la grippe. Et 24 fois plus de mortalité signalée par dose par rapport à la moyenne signalée pour tous les autres vaccins au cours des dix années précédentes19.

Pour Les Décodeurs du journal Le Monde, il s’agirait de “faux décès”, de “chiffres mal interprétés” ou encore de “notifications qui peuvent être inventées” par les « anti-vaccins qui sèment le doute sur les effets secondaires20 ».
D’après une analyse effectuée par des chercheurs en juin 2021 sur la base des rapports de décès après la vaccination Covid-19 de la base de données du VAERS, contrairement aux affirmations selon lesquelles la plupart de ces rapports sont rédigés par des profanes et sont donc cliniquement peu fiables, 67% des déclarants sont des employés des services de santé21. Dans seulement 14% des cas, le vaccin pouvait être écarté comme facteur contributif du décès.

Pour les médias de propagande, un décès après vaccination sera toujours une “coïncidence”.

“Si ma mère avait reçu un rappel, elle serait toujours en vie”, a osé titrer le journal
suisse Le Matin qui ne recule devant rien pour aider à engraisser les labos22.
Ou, qui sait, peut-être que si elle n’avait pas pris de vaccin du tout et qu’elle avait été
soignée avec un traitement prescrit par un médecin mais proscrit par les autorités sanitaires, peut-être serait-elle toujours en vie…

Mais pour les médias, si le vaccin ne marche pas, c’est parce qu’on n’en administre pas assez.

Selon la biostaticienne Christine Cotton, qui a fait une analyse complète des données de
pharmacovigilance américaine, 67% des décès enregistrés arrivent dans les 21 jours après
l’injection23. La répartition des décès en fonction du nombre de jours écoulés depuis l’injection montre une courbe qui ne ressemble pas à une distribution aléatoire, comme ce serait le cas si le vaccin ne jouait pas un rôle dans ces décès.

Répartition des décès depuis injection

EudraVigilance

EudraVigilance, la base de données de pharmacovigilance européenne, montre également une disproportion spectaculaire des décès survenus après vaccination de janvier à juillet 2021 par rapport aux années précédentes, tous vaccins confondus24.
Effets secondaires graves des vaccins
En pharmacovigilance, une forte preuve de l’imputabilité d’un médicament est sa reproductibilité avec la réapparition de l’évènement lors de sa réadministration. Dans le cas des décès survenant après vaccination cela est évidemment impossible, d’où une difficulté à établir un lien de cause à effet de manière certaine.
Décès après vaccination
Tous ces chiffres ne prennent de plus pas en compte les dommages collatéraux occasionnés par la politique de vaccination qu’elle peut générer, conduisant par exemple au suicide d’employés perdant ou ayant peur de perdre leur emploi pour avoir refusé de se faire vacciner25.
Les chiffres d’EudraVigilance arrêtés au 19 octobre 2021, consultables par tout un chacun26, montrent un nombre de décès après vaccination Covid s’élevant à 28 102 au niveau de l’Europe, hors Royaume-Uni. Un nombre qui peut au moins être multiplié par 10 pour obtenir un ordre de grandeur plus proche de la réalité.
EudraVigilance du 19 octobre 2021

Pour l’AFP Factuel, ces résultats sont issus « d’un raisonnement trompeur, le décès d’une personne vaccinée n’est pas nécessairement liée à l’injection qu’elle a reçue 27 ».
L’AFP et les autres médias mainstream ne se sont pas montrés aussi perspicaces lorsqu’il s’agissait d’annoncer quotidiennement le nombre de décès Covid, comme s’il s’agissait de la seule et unique cause des décès, ou quand il s’agissait de s’attaquer aux “chiffres qui relativisent la mortalité due au Covid-19 dans le monde28.”

Depuis l’arrivée du vaccin, on retrouve toutes les maladies qui avaient mystérieusement disparues en 2020. C’est aussi le grand retour des crises cardiaques et des AVC. Mais comme il existe une forte propagande incitant à ne pas remettre en question la sécurité de ces produits…

« C’est malheureux que ça tombe à ce moment-là mais ce n’est pas inquiétant en soi. Il faudrait le comparer à la fréquence des décès habituels dans cette classe d’âge pour pouvoir tirer une conclusion29. » – Philippe Amouyel, Professeur de Santé Publique au CHU de Lille.

« Alain Fischer c’est le “Monsieur vaccin”, il était ce matin sur RTL et on lui a posé la question sur les morts qui ont été vaccinés… et c’est ça qui m’amuse dans cette propagande, parce que j’en peux plus ! Qu’est-ce qu’il va répondre, Monsieur Fischer ? Qu’évidemment les morts pour le vaccin c’est à cause de la comorbidité et l’état général, mais les morts de plus de 85 ans sans vaccin, c’est le virus. Parce que évidemment, si tu commences à dire que la vaccination est source de morts… il ne peut pas le dire ! Moi j’appelle ça de la malhonnêteté intellectuelle30. » Pascal Praud, journaliste sur CNews, le 18 janvier 2021.

Vous avez compris le coup ? Si vous mourrez avec le Covid-19 mais n’êtes pas vacciné, vous alimentez les chiffres des morts dus au Covid-19. Par contre, si vous mourrez après avoir été vacciné, là on dira que c’était dû à l’âge ou parce que vous aviez des comorbidités…

Une étude de pharmaco-épidémiologie de l’ANSM publiée le 18 juillet 2021, qui porte sur 30.000 personnes vaccinées et non vaccinées, n’a pas observé de risque cardio-vasculaire chez les plus de 75 ans 31. Une étude qui a naturellement largement été relayée par les médias.
L’étude précise ce faisant que “les périodes de 14 jours suivant la 1ère dose et la 2nde dose du vaccin ont été considérées comme périodes à risque, et toutes les autres périodes comme des périodes témoins”. Comme c’est pratique ! Donc si on ne décède pas dans les deux deux semaines, non seulement on n’est pas comptabilisé comme étant mort à cause de l’injection, mais en plus on alimente le groupe témoin, venant ainsi diminuer le risque calculé.

Et qui dit plus de personnes vaccinées, dit aussi la disparition progressive du groupe témoin…

Un autre problème de la pharmacovigilance, c’est qu’elle ne permet pas de relier de manière certaine un effet d’un médicament avec un problème de santé à moyen et long terme, notamment les risques d’altération du génome ou l’apparition de cancers.

« Le protocole de Pfizer n’a pas évalué les ef ets pharmacocinétiques, pharmacodynamiques et génotoxiques de son vaccin. » – Alexandra Henrion-Caude.

“À moitié vrai”, a répondu RTL32. “La pharmacodynamique du vaccin Pfizer a bien été étudiée. Pas de données pharmacocinétiques ni génotoxiques, mais ces dernières ne sont jamais étudiées pour un vaccin.”
C’est plutôt aux deux tiers vrai, dans ce cas. Étudier la génotoxicité d’un médicament trompeusement appelé “vaccin” aurait permis de vérifier s’il y a un risque de dysfonctionnement ou d’altération du génome en endommageant l’ADN. Comme pour la dizaine d’articles qui sont dédiés à l’interview d’Alexandra Henrion-Caude, de préciser qu’elle a été réalisée par une chaîne “d’extrême droite”, comme s’il s’agissait d’une information pertinente afin de la décrédibiliser.

Lothar Heinz Wiele, président de l’Institut Robert Koch, le centre épidémiologique fédéral d’Allemagne, a préparé en décembre 2020 la population aux décès qui surviendront après la vaccination33. Il a pour ce faire rappelé qu’environ 900.000 personnes meurent chaque année et qu’il est donc statistiquement très probable que des personnes décèdent suite à la vaccination. Il a ajouté qu’il sera extrêmement important de déterminer si la cause du décès était due au vaccin ou à une maladie préexistante, notamment parce qu’ils commenceront par les personnes à haut risque que sont les personnes âgées.

Le 4 juillet 2021, un collectif de 200 médecins a tiré la sonnette d’alarme sur l’arrivée d’une épidémie d’insuffisances cardiaques. Selon eux, 1,5 millions de français seraient déjà concernés et il faudra s’attendre à ce qu’ils soient plus de deux millions d’ici 5 ans34.

Les conséquences des maladies cardiovasculaires pouvant mettre plusieurs années à survenir, le lien avec la vaccination sera par conséquent d’autant plus difficile à établir.

Liutwin

Sources :

1https://twitter.com/LCP/status/1448937881171644418

2https://twitter.com/boutaour/status/1448926727367954442

3https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins

4https://web.archive.org/web/20210730120657

5https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins

6https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-covid-vaccin-la-geneticienne-alexandra-henrion-caude-nous-dit-tout

7https://www.rtl.be/info/magazine/sante/la-pharmacovigilance-en-france-ne-surveillerait-pas-les-effets-secondaires-deja-listes-par-pfizer-la-belgique-et-l-europe-le-font–1288768.aspx

8https://france3-regions.francetvinfo.fr/centre-val-de-loire/indre-loire/tours/centre-regional-de-pharmacovigilance-de-tours-afflux-de-signalements-sur-les-effets-secondaires-des-vaccins-anti-covid-2034931.html

9https://digital.ahrq.gov/ahrq-funded-projects/electronic-support-public-health-vaccine-adverse-event-reporting-system

10https://www.francetvinfo.fr/sante/soigner/implants-medicaux-nous-navons-pas-de-chiffres-precis-sur-le-nombre-de-deces-en-france_3074143.html

11https://youtu.be/0-7R3r5_-EA

12http://www.vigiaccess.org/

13https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/covid-19-les-vaccins-vus-travers-la-pharmacovigilance-de-loms

14https://odysee.com/@Vivre-Libre2.0:f/dr-e-menat

15https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/300721/la-vaccination-covid-l-epreuve-des-faits-2eme-partie-une-mortalite-inedite

16https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vaccination-covid-lepreuve-des-faits-2eme-partie-une-mortalite-inedite

17https://www.openvaers.com/covid-data

18https://nouveau-monde.ca/usa-un-proces-federal-demande-larret-immediat-des-vaccins-covid-le-cdc-ayant-sous-estime-les-deces-dus-aux-vaccins

19https://mobile.twitter.com/YaffaRaz/status/1412040686677987331

20https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/08/18/faux-deces-chiffres-mal-interpretes-comment-les-antivaccins-sement-le-doute-sur-les-effets-secondaires_6091696_4355770.html

21https://www.researchgate.net/publication/352837543

22https://www.lematin.ch/story/si-ma-mere-avait-recu-un-rappel-elle-serait-toujours-en-vie-390551595134

23https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/christine-cotton-vaers

24https://www.adrreports.eu/

25https://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/non-vaccinee-elle-craignait-detre-licenciee-les-policiers-qui-lont-empechee-de-sauter-du-pont-racontent-29-07-2021-RA2R4DAVCNBLBANOTEMZAH3GEM.php

26https://odysee.com/@laileastick:4/2021-02

27https://factuel.afp.com/attention-ce-tutoriel-trompeur-pretendant-montrer-le-nombre-de-deces-dus-la-vaccination-anti-covid

28https://factuel.afp.com/des-chiffres-qui-relativisent-la-mortalite-due-au-covid-19-dans-le-monde-attention-ces-comparaisons

29https://twitter.com/CNEWS/status/1351768329543970817

30https://twitter.com/boutaour/status/1351086403266994178

31https://ansm.sante.fr/uploads/2021/07/19/20210719-rapport-epiphare-vaccins-covid-19-75-ans.pdf

32https://www.rtl.be/info/magazine/sante/pfizer-n-a-pas-evalue-les-effets-pharmacocinetiques-pharmacodynamiques-et-genotoxiques-du-vaccin-a-moitie-vrai-1288758.aspx

33https://odysee.com/@NeufdeCoeur:1/Vaccin-allemagne

34https://www.europe1.fr/sante/200-medecins-lancent-lalerte-face-a-une-epidemie-dinsuffisance-cardiaque-en-france-4055806

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