Manifeste pour l'espoir
Chers êtres humains, l’heure est grave et nous avons rendez-vous avec l’Histoire. Nous avons rendez-vous avec ce que l’histoire appellera la plus grande bataille pour l’humanité que nous ayons jamais connue et c’est ensemble que nous serons à la hauteur des responsabilités qui nous incombent, pour nous et surtout pour ceux qui nous suivront.
Parce que nous partageons bien plus qu’un simple code génétique. Parce que, ce qui nous constitue, dans notre chair, dans notre sang et dans nos gènes, ne doit pas et ne devra jamais être souillé des mains de quelques-uns, qui au nom du profit, au nom d’un contrôle massif des populations, au nom de l’instauration d’un nouvel ordre mondial s’attaquent désormais à l’essence même de ce que nous sommes.
Qui sont-t-ils ces milliardaires, ces hommes d’influence, ces directeurs de laboratoires pharmaceutiques et ces membres de conseils scientifiques criblés de conflits d’intérêt pour tenter de nous imposer leur monde d’après ?
De quel droit une poignée d’entre eux osent-ils décider à notre place des nouvelles orientations idéologiques et sociétales, au nom de notre sécurité et du bien commun ?
Si l’enfer est pavé de bonnes intentions et elles n’ont jamais été aussi nombreuses qu’en ces temps de psychose collective ouvrant la voie au mercantilisme sanitaire, à la déshumanisation et au traçage sous toutes ses formes au mépris de notre vie privée et de nos libertés les plus fondamentales comme celles d’aller et venir ou encore celles de respirer librement en sortant de chez soi !
Rien ni personne n’est en droit de détruire l’essence même de ce que nous sommes ! La limite a été franchie, ils sont allés trop loin et partout, le peuple se réveille !
Alors rappelons-nous.
Rappelons-nous l’humanité qui sommeille en chacun de nous car elle a existé, elle existe et elle existera toujours.
Alors n’oublions pas.
N’oublions pas qui nous sommes et qui nous avons été, n’oublions pas l’histoire, respectons le présent pour dessiner ensemble notre futur !
Et enfin ne les laissons pas faire ! Ne les laissons pas agir en toute impunité et révoltons-nous contre l’inacceptable parce que personne ne touchera à nos enfants, à nos parents et à notre intégrité physique sans faire face aux conséquences de ses actes !
Sont ainsi désignés à la vindicte populaire :
- Les responsables politiques qui ont oublié qu’ils sont élus par le peuple et pour le peuple au nom de l’intérêt général, notamment notre président de la république Emmanuel MACRON et notre ministre des solidarités et de la santé Olivier VERAN.
- Les directeurs des plus grands groupes pharmaceutiques dont le président de Moderna Stéphane BANCEL ou encore le président du groupe Pfizer, Albert BOURLA, obnubilés par le profit, finançant allègrement des médecins apprentis lobbyistes, ceux-là même qui ont inondé nos plateaux de télévision pour décrédibiliser des traitements dont on sait aujourd’hui qu’ils auraient pu sauver des dizaines de milliers de vies, pour mieux promouvoir un essai clinique potentiellement dangereux, réalisé à la hâte et dont 47,6% de la population mondiale ont reçu au moins une dose au 12 octobre 2021.
- Tous les membres du conseil scientifique, en particulier Jean-François DELFRAISSY qui le préside ainsi que tous les médecins qui ont troqué leur serment d’Hippocrate contre le serment d’hypocrite et ceux corrompus qui se taisent puisqu’ils n’osent pas mordre la main qui les nourrit, l’infectiologue Karine LACOMBE ou Bruno MEGARBANE en première ligne.
- Les journalistes complaisants qui ont quant à eux vendu la charte de Munich et leurs cartes de presse contre une bonne place en matinale et les bonnes grâces de leurs hiérarchies.
- Les instigateurs des algorithmes et des censures qui régissent les réseaux sociaux tels que Marc ZUCKERBERG pour ne citer que lui.
- Ces gens susnommés sont responsables de milliers de morts et de fait, coupables de crime contre l’humanité.
Ces gens susnommés sont responsables de milliers de morts et de fait, coupables de crime contre l’humanité.
De crime contre l’humanité
Car déjà, d’innombrables vies ont été volées, de nombreuses libertés individuelles sacrifiées et notre contrat social saccagé sur l’autel de la surenchère de la peur et du principe de précaution.
D’irréparables dégâts psychologiques et autant de drames humains se jouent en ce moment même dans nos foyers, dans nos rues, dans nos lieux de vie, nos lieux de travail, dans nos EHPAD et dans nos écoles.
Chaque jour un peu plus, l’horreur continue et c’est ainsi qu’au nom de notre sécurité, une crise économique sans précédent a été provoquée par des confinements abusifs et irréfléchis, c’est ainsi que pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, les plus âgés s’inquiètent de l’avenir des plus jeunes plus qu’ils ne l’envient alors qu’il est pourtant dans l’ordre naturel des choses d’offrir à nos enfants, aux générations futures, l’espoir d’un avenir meilleur, pour qu’ils puissent un jour à leur tour, offrir un monde à l’humanité préservée aux enfants de leurs enfants.
L’humanité n’a pas de prix car elle n’est pas à vendre !
Préservons ce qu’il y a de beau dans le monde et en chacun de nous et dépassons les clivages qui nous divisent, la cause est trop importante et l’union n’est plus nécessaire, elle est indispensable.
Deux chemins s’offrent à nous et aujourd’hui, il nous faut choisir.
C’est ainsi qu’au-delà de la résignation, nous pouvons faire de cette crise une chance, un moment historique et que nous avons devant nous une formidable occasion de nous unir et de nous relever ! De nous relever pour l’humanité comme notre espèce l’a toujours fait grâce à cette force intérieure qui nous a toujours permis de traverser les guerres et les tempêtes, et ce depuis la nuit des temps.
N’en déplaise à certains, l’humanité n’a pas de prix car elle n’est pas à vendre !
Soyez-en certains, un jour prochain, justice sera rendue et reviendra alors, l’ordre naturel des choses car c’est une loi universelle et immuable que celle du retour au calme après le chaos. Sachons, sentons et prenons acte de cette humanité qui sommeille en chacun de nous, cette humanité qui ne demande qu’à s’exprimer.
Ressentons la détresse et l’espoir de tous ceux qui comme nous, souffrent aujourd’hui de la coercition. Ressentons et acceptons aussi la peur, la peur légitime de tous ceux qui ne demandent qu’à vivre, la peur de ceux qui ne souhaitent qu’une chose au fond : Que tout cela se termine au plus vite et que la vie reprenne ses droits. Œuvrons ensemble pour que les uns et les autres aient droit, un jour prochain, à une vie plus douce et à un avenir digne de ce nom.
Osons imaginer un autre futur qu’un futur hygiéniste dans lequel nous ne pourrons plus jamais prendre nos parents, nos moitiés, nos amis et nos enfants dans nos bras, dans lequel les enfants iraient à l’école avec des masques, se lavant les mains tous les quarts d’heure, avec l’interdiction de toucher leurs camarades, chacun dans un cercle marqué au sol, à bonne distance de toute humanité.
Osons imaginer un autre futur qu’un futur au sein duquel notre ADN serait notre DATA, porte ouverte au crédit social et à la déshumanisation par le vol de notre propre intégrité physique.
Car si hier et encore aujourd’hui, ce sont des chemins ombragés qui nous ont guidés, rien ne nous interdit de garder espoir en l’avenir, de dessiner ensemble un autre monde.
D’aucuns s’imaginent que la vie est un champ de bataille, pour d’autres elle est surtout le champ des possibles !
Si des erreurs ont été commises, la repentance de ceux qui ont fait peur et de ceux qui ont eu peur sera l’une des clés du trésor que représentera notre humanité retrouvée.
Puisque l’erreur est humaine et que la haine et la vengeance sont à proscrire et même si notre souffrance actuelle ne peut être niée, il en va de notre avenir de n’en vouloir à personne, de faire preuve de déterminisme et d’envisager que les bourreaux d’aujourd’hui peuvent aussi être les sauveurs de demain. Ayons le privilège de faire partie de ceux-là !
Laissons-leur la chance de faire partie de ceux-là.
Ces gens, ces organisations qui œuvrent eux aussi en faveur de leur propre vision de la meilleure façon de préserver l’espèce humaine, bien qu’ils puissent parfois oublier l’essentiel ne sont pas des monstres sans cœur mais simplement des êtres humains qui se trompent, et que ceux qui ne se sont jamais trompés leur jettent la première pierre !
Le salut de l’humanité ne résidera jamais dans la désignation de coupables dans l’obtention d’une quelconque vengeance. La clé de notre sursaut résidera au contraire dans la compréhension des mécanismes qui se jouent en coulisse, dans la paix et dans le pardon, conditions sine qua non à la préservation de notre avenir à tous.
Nous n’avons plus le choix et nous sommes tenus de prendre de la hauteur, de grandir et nous élever au-dessus des querelles inhérentes à notre condition de simples êtres humains pour sauver notre espèce, sauver notre futur.
Camus écrivait : « Tout le monde sait que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue » Il avait tort. La vie vaut la peine d’être vécue, à condition qu’on lui accorde sa juste valeur.
Réécoutons nos grands penseurs, ceux qui nous ont précédés et relisons les à la lumière des évènements d’aujourd’hui pour transformer la volonté de puissance Nietzschéenne en une véritable joie active chère à Spinoza, une joie active consistant dans la conscience d’un accroissement de la puissance d’exister plutôt que celle de dominer.
Car si aujourd’hui, l’humanité pleure dans sa grande détresse, à l’heure où nous venons de reconnaitre nos libertés perdues au bruit qu’elles ont fait en claquant la porte, rien, ne nous interdit d’imaginer sourire au monde de demain, si tant est qu’il reste humain.
L’histoire nous a déjà démontré notre incroyable capacité de résilience. C’est d’ailleurs cette merveilleuse aptitude qui fait de nous l’espèce si particulière que nous sommes, plus qu’aucune autre.
Dès lors, et plutôt que de nous diviser, unissons-nous dès à présent pour demain. Relevons la tête et regardons la peur dans les yeux, au fond des yeux et tenons le regard, c’est alors elle qui faiblira et par la force du nombre, nous la terrasserons !
Il nous reviendra de faire preuve d’abnégation, d’un courage inégalé et sans précédent pour qu’un jour, les générations futures puissent être fières de nous, de leurs parents, de leurs grands-parents, ceux-là même qui auront non seulement vaincu la psychose engendrée par cette pandémie mais aussi et surtout leurs propres démons.
Enfin, par-dessus tout, faisons preuve d’intelligence, de tolérance et de grandeur d’âme, surtout quand viendra le temps de faire preuve de compréhension envers nos semblables, envers ceux qui n’auront pas eu les moyens de se relever car il y en aura.
En effet, bien que nous naissions libres et égaux en droit, les hasards de la vie ne dotent pas tous les êtres humains des mêmes capacités face aux obstacles qu’elles leur imposent et c’est ainsi que chacun fait ce qu’il peut, avec ce qu’il a.
N’oublions jamais d’ailleurs, que c’est cette diversité qui fait la magnificence de nos civilisations.
Alors si nous en avons les moyens, donnons-leur la main pour qu’ils la saisissent, par l’esprit critique et la réflexion, donnons-leur le pain pour qu’il les nourrisse et enfin, redonnons leur l’espoir que tout être humain mérite !
Il appartient à chacun d’entre nous, d’agir et d’œuvrer à son échelle, dans son domaine de compétence, en faveur d’une humanité préservée, de discuter, de proposer le débat, d’accueillir les craintes sans les balayer, de proposer d’autres solutions sans les imposer, dans le respect et la bienveillance, ces valeurs étant encore une fois les clés d’un monde de demain plus apaisé.
Il appartient dès aujourd’hui à chacun d’entre nous, d’agir du mieux possible, en gardant à l’esprit l’idée que nous faisons tous partie de la même espèce, l’espèce humaine.
Alors oui, nous sommes en guerre, mais pas contre un virus, nous sommes en guerre contre nous même, contre nos clivages, la cupidité des uns et la volonté de puissance des autres !
Et cette guerre, nous pouvons la gagner, ensemble, jour après jour, nous la gagnerons sur le terrain parce qu’il nous est interdit de la perdre ! Parce que si nous la perdons alors nous perdons tout !
Il nous faudra du courage et nous en aurons,
Il nous faudra de la force et nous en avons,
Il nous faudra nous unir et nous nous unirons !
Alors aux quatre coins du monde, agissons autant que possible, autant que nous le pouvons pour que partout, là où il y a de la vie, il subsiste l’espoir !
Un être humain