Décès d’enfants « vaccinés » contre le Sars-cov2 en France ou en Europe

Les décès d’enfants « vaccinés » contre le Sars-cov2 en France ou en Europe sont impossibles, car ce serait ouvrir la boîte de Pandore. La dictature fera tout pour qu’il en soit ainsi, et il ne sera pas avoué que l’injection Anti-Covid puisse être la principale cause de décès d’un enfant.

Statistiques françaises et européennes

Il existe bien des statistiques françaises et européennes sur les effets secondaires des injections mais :

  • D’une part la sous-déclaration est connue et actée sans compter toutes les pressions.
  • Tous les effets secondaires graves et décès de personnes vaccinées ne sont jamais imputés aux thérapies géniques mais uniquement aux comorbidités.
 

Au 18 septembre, plus de 25 000 européens injectés seraient officiellement décédés.

Décédés mais de quoi ?
Car le problème est sur la charge de la preuve…

Pour tenter de prouver qu’un médicament a des effets secondaires, une des méthodes consiste à cesser de le prendre et de voir si l’on va mieux.
Mais il n’existe pas de retour en arrière possible pour une vaccination et encore moins si l’on est décédé.

Les autorités ont ainsi beau jeu de déclarer que toutes ces personnes sont mortes de comorbidités.

Mais là où la malhonnêteté est élevée au rang d’un art… c’est que le gouvernement ne s’est pas gêné et ne se gêne pas pour étiqueter Covid tout décès d’une personne positive à un test PCR comme cela était demandé dès le premier trimestre 2020 par l’OMS (Je ne vais pas m’embêter à référencer une fois de plus les liens, le mouton paniqué qui les a sous les yeux n’en tire aucune conclusion).

Le summum du tragi-comique étant sur la Nouvelle-Calédonie qui ne fait même plus semblant : « Toute personne décédée à son domicile, dans un établissement social, un Ehpad ou sur la voie publique est présumée décédée du Covid-19, sauf si un certificat médical en atteste autrement. »

D’un coté nous avons les personnes vaccinées qui décèdent et pour lesquelles le « vaccin » ne sera JAMAIS la cause.
Ces personnes injectées seront mortes uniquement de leur comorbidités, quand bien même elles étaient jeunes et en bonne santé.
Et de l’autre coté, nous avons les personnes positives à un test Covid ou dont les symptômes pourraient laisser penser à un Covid qui, lorsqu’elles décèdent, ne sont JAMAIS mortes de leurs comorbidités ou de leur grand âge.

Le statut vaccinal décide ainsi de la cause du décès !

Bien entendu tout est fait pour camoufler ou manipuler les statistiques afin de cacher un pic de mortalité soudain dans une tranche d’âge…

Dans les temps anciens, il y a deux ans, il était parfois possible d’admettre que des vaccins pouvaient exceptionnellement entraîner des effets secondaires graves et parfois même le décès.

En 2013 Le Monde titrait « Les médicaments causent au moins 18 000 morts par an en France ». Il est naturellement admis que des médicaments tuent mais en revanche il est totalement inimaginable et blasphématoire de penser que des vaccins pourraient tuer, même dans des proportions minimes. Et il est encore plus hérétique de laisser croire qu’une injection expérimentale à grande échelle d’ARNm, première mondiale sur des personnes en bonne santé, puisse avoir des effets secondaires graves ou provoquer la mort alors même que le produit est encore en phase III de test.

Et pourquoi ?

Tout simplement parce que la dictature et Big Pharma ne peuvent pas reconnaître ne serait-ce qu’un seul décès, chez un adulte et encore moins chez un ado ou un enfant, qui serait dû à la « vaccination ».

Si il est « autorisé » qu’un médicament puisse tuer c’est que les médicaments sont (en théorie mais de moins en moins) donnés à des personnes malades et potentiellement gravement malades.

De fait la balance bénéfice / risque pour le patient a un sens. Si on admet que le médicament est là pour sauver des vies on peut admettre que, parfois, il tue mais avec un rapport bénéfice vs risque favorable.

Avec un vaccin c’est très différent pour la simple raison qu’il s’adresse majoritairement à des personnes en bonne santé et, qui plus est, des enfants.
Prenons une maladie infantile…. Le risque de mourir d’une maladie infantile est infime pour un enfant en bonne santé. Il devrait d’ailleurs être nul si la médecine faisait son boulot et qu’elle était en capacité de détecter si un enfant est à risque ou pas. Bref, le vaccin contre cette maladie infantile devra être d’une innocuité délirante afin que le rapport bénéficie vs risque demeure favorable. Pour autant, le risque de décéder de maladie infantile n’est pas nul et donc il peut s’entendre qu’un vaccin pourrait avoir un rapport bénéfice vs risque positif…

Il est quand même étrange que les médicaments tuent et que les vaccins ne tuent pas… Nous pouvons regretter que l’exigence de sécurité pour un médicament ne soit pas la même que pour un vaccin… à moins que nous ne disposions pas des vraies données sur les vaccins (fin de la parenthèse).

Mais avec le Covid, rien ne va plus…
Le risque pour un enfant en bonne santé de mourir du Covid n’est pas simplement minime mais NUL.
Il n’existe pas de cas d’enfants sans comorbidités décédés dont la cause de décès serait le Covid… et quand bien même il y en aurait 2 ou 3, ce risque demeurerait NUL.

Dès lors, il ne peut exister de rapport bénéfice vs risque positif pour l’injection d’ARNm chez un enfant. C’est pourquoi il n’y a pas et la dictature fera TOUT, même du plus ignoble, pour que tout enfant « vacciné » qui décède le soit de ses comorbidités mais certainement pas de l’injection. Le plus abject est qu’en cas de décès d’un enfant qui avait des problèmes cardiaques non connus et qui serait décédé suite à l’injection du poison, il ne sera JAMAIS reconnu que le « vaccin » aura été catalyseur de ses problèmes cardiaques et que cet enfant ne serait pas décédé en l’absence d’injection.

Il est donc IMPOSSIBLE de reconnaître que : « Un enfant est décédé des suites de l’injection ». Simplement parce que c’est ouvrir la boîte de Pandore et que des médecins vont alors enfin avoir le courage de reconnaître et affirmer médiatiquement qu’il existe des dizaines d’autres victimes.

Quand on pense que la propagande a réussi à tuer l’AstraZeneca en avouant de rares thromboses chez des adultes au point que le peuple berné en est arrivé à réclamer de l’ARNm expérimental…

La mort d’enfants en bonne santé dans le but (officiel mais pas réel) de sauver des vieux grabataires signerait l’arrêt de mort de la « vaccination » Anti-Covid et la mort de la poule aux œufs d’or ou d’un dessein plus sombre.

La dictature n’avouera donc JAMAIS son crime et il faudra la forcer avec le soutien des rares médecins qui ont encore leur dignité.

Alain Tortosa

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