Pourquoi BioNTech et Moderna ne livrent pas de « vaccins » actualisés ?

Pourquoi 18 mois après les premiers essais sur l’homme il n’existe pas de versions adaptées aux nouveaux variants pourtant si nombreux ? 

« Ils » ne savent pas qu'il y a une perte d'efficacité ?

Cela fait des mois que les médias mainstream avec la complicité des médecins médiatiques corrompus cherchent à nous convaincre que ces injections d’ARNm demeurent efficaces contre tous les variants. La fameuse 3ème dose n’étant qu’une dose de rappel pour booster les défenses immunitaires des petits vieux, ceci n’ayant « rien à voir avec les mutations du virus ».

À noter que l’on se demande bien comment un « vaccin » ARNm pourrait garder son efficacité alors qu’il ne cible QUE la protéine spike (à la différence des vaccins classiques à virus atténués qui eux ont plusieurs cibles) quand la dite protéine spike a muté dans les variants.

Le 23 juillet 2021 on pouvait lire un article sur CNBC 1
« Israël says Pfizer Covid vaccine is just 39% effective as delta spreads, but still prevents severe illness »
L’efficacité officielle de « 95% » étant tombée à « 39% » , tout en continuant à raconter qu’il était efficace à 90% contre les formes graves… va comprendre.

Pourtant le 11 août le Ministre de la Santé israélien rapportait 2 que 64% des patients gravement malades étaient totalement vaccinés tandis que 32% des malades ne l’étaient pas du tout. Pour celles et ceux qui oseraient dire « c’est normal qu’il y ait des vaccinés parce que toute la population est vaccinée ».
Je leur répondrais deux choses :

  • De un, ce n’est pas normal, quand un vaccin est réputé 90% efficace on ne va plus à l’hôpital.
  • De deux, au 11 août, 66,3% de la population avait reçu au moins une dose 3 et 61,5% étaient totalement vaccinés.
  •  

Il faudrait aussi m’expliquer pourquoi Pfizer a annoncé le 9 juillet 2021 qu’il préparait un vaccin contre le Delta et que les essais cliniques démarreraient en août 4.
Annonce bien étrange quand on affirme par ailleurs que son vaccin fonctionne parfaitement.

Information d’ailleurs contredite en août 2021 avec BioNTech qui annonce qu’il n’est pas nécessaire d’adapter son vaccin au variant Delta 5 et qui préconise la 3ème dose.

Quant à Moderna, celle-ci continuaient à dire encore au 15 septembre que leur injection demeurait extrêmement efficace contre le Delta 6.

Sortir une nouvelle version des « vaccins » coûterait-elle trop cher ?

On doit naturellement se poser la question. D’autant plus que l’article de La Presse sur BioNTech précise :

« Depuis le début de l’année, ce laboratoire allemand a déjà enregistré 7,3 milliards d’euros de chiffre d’affaires, contre 69,4 millions d’euros sur la même période l’an dernier, avant la mise au point du sérum contre la COVID-19 »

Quant à Moderna, elle avait déjà engrangé 1,7 milliards de dollars de chiffre d’affaires début mai.

On peut imaginer que l’on peut se permettre de dépenser quelques euros et d’autant plus en sachant qu’un vaccin adapté au Delta ne pourrait qu’avoir un retour sur investissement délirant.

« L’analyste de Morningstar Karen Andersen s’attend à ce que les boosters à eux seuls rapportent environ 26 milliards de dollars de ventes mondiales l’année prochaine pour Pfizer et BioNTech et environ 14 milliards de dollars pour Moderna s’ils sont approuvés pour presque tous les Américains 7. »

Société Moderna qui, rappelons-le, ne commercialise qu’un seul produit, le « vaccin ».

Une adaptation aux variants prendrait-elle trop de temps ?

Nous serions alors face à des problèmes d’annonce…
Le 8 février 2021, le journal Les Échos publiait :

« Le vaccin à ARN messager de Pfizer/BioNTech permet également à priori une adaptation rapide. Le laboratoire allemand a déjà assuré pouvoir produire un vaccin contre de nouveaux variants en six semaines 8. »

Notez qu’il y a eu régulièrement des articles nous expliquant qu’il faudrait environ 5 semaines pour sortir un nouveau vaccin adapté aux variants.

Pour aller dans ce sens, les premières injections humaines du Pfizer / BioNTech / Fosun 9 ont été annoncées le 5 mai 2020.
Autant la collaboration de BioNTech le fabriquant du « vaccin » avec Pfizer n’a été que commerciale, autant il est plus que probable que la collaboration avec le chinois Fosun 10 a permis à BioNTech de récupérer des éléments permettant la conception du produit et notamment la récupération du génome du Sars-cov2.
Cette collaboration ayant débuté le 16 mars, il s’est donc passé 7 semaines entre ces deux dates.

Quant à Moderna, la société a conclu un partenariat avec le National Institute of Allergy and Infectious Diseases 11 le 24 janvier 2020. Le NIAID étant une émanation du NIH (Institut National de Santé des USA).

Le « vaccin » Moderna étant financé par ce petit monde.

Et qui est le directeur du NIAID ?
Le Dr Fauci, le monsieur vaccin des USA qui commence à être acculé. Lui-même étant impliqué dans des recherches de « gain de fonction » sur des virus au laboratoire de Wuhan.
Bref, on peut facilement déduire que Moderna a bénéficié d’informations sur le virus en provenance de Wuhan en janvier.
Quant aux premiers essais 12 sur l’homme du « vaccin » Moderna, ceux-ci ont débuté le 17 mars 2020 soit 7 semaines après le début de la collaboration.

Ceci tendrait donc à prouver qu’il n’a pas fallu bien longtemps pour créer ces « vaccins » et par conséquent, qu’il en faudrait largement moins pour une « mise à jour ».

Pourquoi un vaccin ?

Si Moderna et BioNTech avaient commencé à travailler sur le virus dès la fin décembre 2019, quand les chinois ont rendu public le Sars-cov2, cela ne laisse quand même que 3 mois entre la connaissance de l’existence d’un nouveau virus et les premiers essais sur l’homme par Moderna.

Le 30 janvier 2020, les médias commençaient à parler d’une course au vaccin… Tandis qu’au 22 janvier 2020, il n’y avait que 17 morts 13 officiels sur la planète et 557 cas

Pourquoi vouloir créer un vaccin dès le mois de janvier alors que ce Sars-cov2 semble encore totalement inoffensif ?
D’autant plus que les scientifiques savaient qu’ils avaient à faire à un coronavirus et qu’il passe son temps à muter. Donc même avec un énorme flair, ils n’ont pas pu avoir plus de 2 mois entre le début de la conception et les premiers essais sur l’homme.

Quelles hypothèses raisonnables pour soutenir la non-sortie d'une mise à jour ?

Si l’on considère pour acquis qu’il a fallu moins de 2 mois entre la conception des « vaccins » et les premiers essais sur l’homme, alors il est totalement logique de penser qu’il faudrait environ 1 mois pour faire une mise à jour en partant du génome du variant Delta ou de tout autre variant.

De plus l’injection étant « sans danger » (on ne rit pas jaune s’il vous plaît) et du fait que l’on subit des nouvelles vagues « terribles » avec un variant qui « s’attaque même aux jeunes », il serait inutile et irresponsable d’attendre un délai entre la mise au point du nouveau vaccin et l’injection en masse de la population. Délai de « sécurité » déjà mis en œuvre pour les premières versions.

Pour résumer :

  • Le délai (très court) n’est pas un problème.
  • L’argent (retour sur investissement garanti) n’est pas un problème.

 

Je ne vois pas le moindre argument valide pour ne pas commercialiser des vaccins adaptés aux nouveaux variants, et même tous les mois si il faut !

Dans un monde ultra-libéral tu n’hésites pas à choisir l’option qui va te rapporter le plus d’argent et, qui plus est, augmenter ton capital sympathie.

D’autant plus que si ton vaccin protégeait à 90% avec la souche d’origine, que tu sais qu’il a énormément perdu d’efficacité avec les variants et que tu pourrais retrouver la même efficacité d’origine avec la version 2,0, pourquoi t’en priver ?

Nous voyons de plus que le « booster » est inefficace (cf Israël) et que les injectés de la première date ont l’impression qu’on les prend pour des cons…
Alors que, je le répète, si il y avait une mise à jour Delta, de très nombreuses victimes de la propagande retomberaient dans le piège.

Ils voudraient détruire leur marché qu’ils ne s’y prendraient pas autrement…

Quelles hypothèses dites « complotistes » pour soutenir la thèse de non-sortie ?

  • Le mensonge sur les délais…
    En fait, il ne faudrait pas un mois pour mettre au point la mise à jour comme il n’a pas fallu 2 mois pour fabriquer les premiers vaccins.
    Ces délais ne seraient que mensonges.
    Dans cette hypothèse, il faudrait un an ou plus pour mettre au point une thérapie génique ARNm.
    Vous pourriez me rétorquer « mais comment ont-ils fait alors » ?
    Ici la réponse est « complotiste » (mais de moins en moins au fil des révélations).
    Dans cette hypothèse, le virus est un virus pour partie artificiel et les fabricants ont mis au point le vaccin en même temps que le virus.
    Il devient de ce fait logique qu’aucune mise à jour ne puisse voir le jour car il leur faudrait au moins des mois, voir des années, pour la faire (peut-être que cela expliquerait aussi pourquoi des Sanofi n’ont toujours pas sorti leur « vaccin » ARN).
  • Une volonté de nuire…
    Si il est effectivement possible de sortir des mises à jours rapidement et qu’en plus l’opération serait à la fois rentable économiquement, rentable en terme d’image et rentable en terme de lutte contre le virus, c’est que l’intention n’est pas de sauver mais de détruire des vies.
    Nul ne peut ignorer qu’un vaccin imparfait favorisera les variants. De fait insister avec le même vaccin tout en sachant qu’il sera OBLIGATOIREMENT moins efficace du fait des mutations sur la spike souligne bien une intention criminelle.
    Sans compter les risques d’anticorps facilitant qui font que le vaccin peut se retourner contre les vaccinés qui feraient alors des formes plus graves que s’ils n’étaient pas vaccinés.

 

Mes conclusions (provisoires).

Je ne doute pas que les vérificateurs de l’information à la solde de la propagande auront des raisons totalement « valables » pour soutenir cette absence de vaccins mis à jour. À se demander comment ils supportent que le vaccin contre la grippe soit adapté d’années en années en fonction des mutations du virus… « quelle hérésie » !

Cette absence d’évolutions 18 mois après les premiers essais sur l’homme constitue une preuve du mensonge.
Les fabricants de « vaccins » à ARNm sont donc soit des menteurs avec de mauvaises intentions, soit des menteurs avec de mauvaises intentions.

Alain Tortosa

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